statistiques dans le 49... Il y a une image mais je ne peux pas l'inserrer !!!

autre info (désolée, c'est beaucoup de texte, mais je trouve cette analyse intéressante pour la diffuser, même en dehors de mon département) :

En Anjou, les acteurs luttant contre l'insécurité routière misent sur une analyse poussée de la cause des accidents. Qu'ils soient corporels, et donc parfois mortels, ou bien matériels.
Quinze morts depuis le début de l'année


Alors que les chiffres concernant les victimes de la route augmentent au niveau national, ils ont, au contraire, légèrement reculé dans le Maine-et-Loire. A ce jour, on dénombre 15 décès sur les routes du département, contre 17 à fin avril 2010.
Un comité d'examen des accidents mortels
Depuis le début de l'année, le préfet a décidé de mettre en place un comité d'examen des accidents mortels. Objectif : évaluer les raisons de chaque accident et voir, comme l'indiquait, lors de l'installation de cette nouvelle structure, Christophe Cirefice, le directeur de cabinet du représentant de l'État, « quelle réponse très concrète on peut apporter pour que ce type d'accident ne se reproduise ».
Davantage d'accidents
Si le nombre de tués a, à ce jour, baissé, le nombre d'accidents corporels a, quant à lui, augmenté de 15 % et celui des blessés de 13 %.
Une analyse des accidents matériels
Daniel Caldironi, le responsable du service sécurité routière du conseil général, l'affirme : « Les points noirs ont diminué jusqu'au moment où il n'y en a plus eu. Il n'existe plus sur le département de zones avec 15, 20, 30 accidents comptabilisés sur des périodes de cinq ans. » Et aujourd'hui, les accidents corporels se répartissent aléatoirement sur tout le territoire.
Alors, pour déterminer les zones à risque, dites potentiellement dangereuses, les agents du conseil général recensent et analysent, également et depuis quelques années, les accidents n'occasionnant que des dégâts matériels.
« On a décidé dA'intervenir à partir de trois ou quatre accidents sur une période de cinq ans », indique Daniel Caldironi. Exemple : dans la zone des virages du Breil, située entre Beaupréau et Saint-Florent-le-Vieil où un seul accident mortel s'était produit en cinq ans. « Si l'on s'en était tenu à cela, on n'aurait probablement rien fait. Mais, on a constaté huit accidents matériels en une seule année. » Du coup des aménagements ont été réalisés. Et, « depuis aucun accident n'y a eu lieu ».
90 zones dangereuses
Depuis la mise en place du dispositif, en 2007, 90 zones potentiellement dangereuses ont été identifiées sur le réseau des routes départementales (5 000 km). Pour les traiter, le conseil général prévoit une enveloppe annuelle de 250 000 €. 76 % des propositions d'aménagement étant réalisées l'année qui suit l'analyse de la zone dangereuse. « Si une opération se révèle plus coûteuse, elle peut faire l'objet d'un budget spécifique », précise Daniel Caldironi.

c'est très intéressant!
Où trouves tu toutes ces infos? Je n'ai rien vu sur le net à part ça COTITA

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@micalement.

ah ok, bon plan effectivement